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  • petite annonce scooter

    Ce scooter a moins de 14000km, il est expérimenté et fiable.

    Il est entretenu par Gérard, mécanicien de son état et beau père, mais comme je suis maintenant divorcé, je peux pas vous le présenter.

    Il est confortable, j’ai jamais eu mal au fesses.

    Il est contenant, je peux y mettre 3 packs de bière, un gros sac de courses, plein de trucks sous la selle et 8 bouteilles dans le coffre. I

    l est fiable, bien qu’il lui faut au moins 400 mètres avant de rouler au top, sauf si vous avez la patience de le faire tourner 5 min avant de rouler.

    Son seul défaut, c’est le rétro qu’il faut réajuster une fois sur deux mais le gars du contrôle technique, il a rien dit. (11/2024)

    Je le vends parce que je suis un heureux piéton en centre ville et que y’a de la bière à la supérette du champ de foire.

    J’ai pas envie de proposer de droit de rétractation parce que j’ai envie d’avoir la paix, histoire de boire une bière tranquille plutôt que de me prendre la tête avec les contrôles techniques, les locations de garages, les assurances et les pneus à regonfler tout les x mois, sans compter l’huile 2t…

    Si on fait affaire, j’offre une bière.

  • Dico drôle et exutoire du sanitaire et médico-social

    Aller – retour, faire un (Verb. Bio.) : Quand il n’est pas possible de réaliser un prélèvement d’urine dans un gobelet, l’infirmière n’a d’autre choix que d’aller les chercher dans la vessie via une tubulure. Elle dira alors qu’elle va faire un aller-retour car elle repartira avec des urines mais aussi avec sa tubulure.

    Autonomie : capacité à prendre une décision, à faire un choix cohérent et stratégique. Cette notion est différente de celle de l’indépendance, bien qu’elles soient souvent prisent l’une pour l’autre. En effet, ou est l’autonomie et l’indépendance de la personne qui veux du chocolat mais qui n’a pas de bras.

    Bientraitance (Fem. RTFM.) : Principes positifs de savoir-être et savoir-faire envers autrui directement conditionnés par les moyens mis en œuvre par le législateur. Par effet de cause, il convient de parler de bienséance versus maltraitance institutionnelle. A noter que le législateur n’a pas à subir les formations bientraitances, aussi il est permit de se demander sur quel champs d’expertise ce dernier se base pour exercer sa condition.

    Cassé (Masc. Alim.) : A la demande, café au lait enrichi de biscotte et qui fait office de dîner. Il existe des variantes avec du vin.

    Chaise garde-robe (Fem, Matos.) : matériel désigné de la sorte par pudibonderie afin de pas évoquer le simple fait qu’il s’agit d’une chaise, amovible, pour faire caca.

    Chariot-douche (Masc. Matos.) : Chariot équipé d’un matelas en polyester avec des barrières de sécurités et une évacuation de l’eau afin de permettre une douche aux personnes alitées. Il apporte un certain confort à l’auxiliaire de soin malgré les nombreuses manipulations que cet équipement suppose et permet le contact avec l’eau coulante sans restriction. Cependant, faire attention à la sécurité car avec le savon, le chariot-douche rappel étrangement l’épreuve au savon noir du célèbre jeux Interville.

    Confidentialité (Masc. Archéologie) : Notion tombé en désuétude des suite de la crise de la COVID19 qui garantie le secret de la vie privée.

    Crabe, faire le (Verb. RTFM.) : Action d’une personne ayant des troubles du comportement qui consistent, involontairement, à retenir en main tout ce qui passe par là. Il est impossible de retirer un vêtement dans ses conditions, ou d’aider à laver les mains. Chez le bébé, il s’agit du grasping.

    Culculpédie (Fem. RTFM.) : Moyen de locomotion d’une personne aidée qui lui permet de se reculer en avançant sur les fesses pour se remonter dans le lit.

    Grenouillère, Babygro (Fem. Matos.) : Vêtement de type contention, uniquement sur ordonnance. Habit d’une pièce que la personne accueillis ne peux retirer seul. Ce vêtement amène du confort et de la sérénité, bien être qui sera essentiellement ressentie par l’accueillant dans un cercle vertueux.

    Effet hamster : Trouble du comportement d’une personne institutionnalisée à cumuler dans sa bouche, les bouchées sans les avaler au fur et à mesure tout en restant discret afin que cela ne soit pas trop visible de l’extérieure. Avec les sujets n’ayant pas de dents, cela peut durer des heures entières sans l’intervention du professionnel. Les personnes qui développent ce trouble, en bon débutant on vraiment l’air d’un hamster.

    Emballer : (Verb. TRFM.) : Action réalisé par l’auxiliaire de soin qui consiste à coincer la chemise d’hôpital (casaque, de fracture, chasuble) à l’intérieure du slip-filet (une sorte de culotte faire pour retenir les protections hygiéniques anatomique). Ceci est alors une contention qui ne dit pas son nom et qui s’argumente par le fait que le sujet gratte sa protection pour qu’il ne l’émiette. En réalité, la crainte est de ce voir des selles étaler partout. La conséquence est qu’il n’est pas possible pour le sujet de se toucher ou de se masturber.

    Ensuquer (Verb. Bio.) : Se dit d’un personne plus ou moins drogué par les traitements psychotrope. Si une personne est trop agité, le traitements n’est pas efficace, si la personne est trop ensuquer, le traitement est trop efficace. Le prescripteur recherche l’équilibre entre la diminution des troubles et la qualité de vie.

    Fiche des tâches (Fem. RTFM.) : Document qui relate de l’organisation du service au siècle dernier. Permet de connaître un temps ou le personnel était en nombre.

    Loi d’Ariane (Fem. RTFM.) : Principe qui veux que quoi que les cadres inscrivent sur la liste des tâches, l’équipe finira son service à la même heure.

    Médecine à la montre (Fem. RTFM.) : Pratique d’une médecine qui limite à un temps cours le temps consacré à chaque patient. Le temps entre chaque patient est également compté, mais pas celui des conséquences délétères de cette médecine. La visite de plus en plus rapproché du patient n’est pas un indicateur de son état de santé mais révélateur de sa capacité à observer l’ordonnance ou les recomandations.

    Note d’information (Fem. RTFM.) : Document affiché en évidence visant à annoncer et détailler le déroulé d’une réunion qui sera de toutes façons annulée. Il convient de préparer quand même cette réunion pour le jour ou elle sera reprogrammé et de mètre à jour ses notes en fonction du contexte dans le quel elle s’inscrira au moment venue.

    Patois (liste d’exemple) : A ne pas utiliser en situation d’urgence. (Merci au Urgence du Limousin pour leur participation)

    • Engouniger : Faire une fausse route avec un aliment solide
    • Entergoller : Faire une fausse route avec un aliment liquide
    • S’entroper : se prendre les pieds dans quelque chose.
    • Se gournifler : se goinfrer

    Perle du Limousin : agglomération de saleté en une matière solide à l’intérieur du nombril et qui se présente sous la forme d’une perle noire.

    Pinocchio, Marguerite (Masc. Fem. Bio.) : Organe génital de l’humain ainsi désigné afin de prévenir l’intention de réaliser la toilette intime. Notez que Pinocchio est la substitution du petit oiseaux, qualificatif peu flatteur que j’espère maintenant obsolète.

    Placard (Masc. Bio.) : Un placard, dans la bouche d’un soignant représente un hématome ayant une forme et une taille importante. Il s’agit plus de voir la projection d’un placard que de penser que le sujet s’est cogné contre un placard.

    Rôle propre (masc. RTFM) : Le rôle propre est celui de l’infirmière, ce sont les tâches à l’initiative de l’infirmière et s’oppose au rôle prescrit. Le rôle sale serait alors l’ensemble des tâches que l’infirmière n’aurait pas le temps de faire à sa grande frustration, laissant le relais à l’aide soignante. L’aide soignante a quand à elle un rôle délégué et est formé pour faire la partie non stérile du rôle propre de l’infirmière. L’agent de service hospitalier, ou la maîtresse de maison, par glissement de tâche, fini par faire les soins de nursing. Il est fort possible qu’une nouvelle catégorie de main d’œuvre apparaisse pour faire le travail initial de l’agent de service qu’il n’aura pas le temps de faire, faisant les soins de l’aide soignante qui fait les soins de l’infirmière qui fait le travail du cadre de santé.

    Recul professionnel (Masc. Archéologie) : Capacité du professionnel à projeter sa pratique dans le temps et dans l’espace afin d’être lui même spectateur de sa propre façon d’interagir avec autrui par anticipation. Cet outils reste peu utilisé car génère des fou rires pas très professionnel.

    Serpillo-thérapeute (Masc. ONISEP.) : Personnel paramédical convaincu d’incarner le rôle d’un soignant en passant la serpillière. L’idée n’est pas bête en soit, bien que cet intervenant ce distingue par l’absence de visée thérapeutique, au contraire, il insiste sur le fait que l’action de passer la serpillière est un soin, niant toute interaction avec la personne accueillit.

    Schéma corporel (Masc. Psych*) : Le schéma corporel est la projection non consciente du corps par le cerveau. Cela met en branle les organes, les tendons et muscles, la peau (et donc le langage). L’expression de ce schéma corporel permet au bébé de se tenir la tête, de marcher, de mettre des choses à la bouche pour les explorer. L’extériorisation de cette expression n’est autre que le dessin de bonhomme. Il est donc faut de parler de trouble du schéma corporel pour parler d’une personne qui se lave dans un ordre qui lui appartient. En effet, une personne qui choisie de se laver les fesses en premier à conscience de ses fesses. Il s’oppose à l’image de soi, c’est à dire l’idée qu’on se représente de son apparence.

    Sucer le nerf (Verb, RTFM.) : Un professionnel qui vous épuise par sa simple présence vous suce le nerf. En tout cas, c’est un moyen de le verbaliser qui fait rire et donc passe mieux…

    Syndrome de Fort Boyard (Masc. RTFM.) : Envahissement à ressentir l’embauche comme le top départ d’un service ou il faudra courir pour faire ses soins avant la fin du sablier. A la différence qu’il n’est pas question d’abandonner, d’aller au toilette ou de passer le relais.

    Tempête, prendre, la (expression) : Ce dit de la consigne de l’infirmière qui tient la consigne du cadre qui tient la consigne de l’ARS qui tient la consigne du ministère de la santé qui tient la consigne d’un obscure élu, de prendre la température de manière systématique, 3 fois par jours et à tout les accueillis d’un service.

    Test à l’eau oxygénée des selles (Verb. Bio.) : Si une infirmière vous demande de faire un test oxy, il est probable qu’il s’agisse de tester les selles du patient à la recherche de sang. Si les selles mousse en réaction, c’est pas bon signe.

    Torcheculrologue (Masc. ONISEP.) : Intervenant surqualifié dont les tâches sont réduites à l’activité sus induite pour le plus grand bonheurs des fessiers des grands âges.

    Toupiner (Verb, TDC) : Action d’une personne en errance qui consiste à manipuler toutes sortes de choses sans but précis. Ce comportement est peu être l’équivalent des peintures faites par les tout petits et qui deviennent invariablement de couleur kaki.

    Transfert (Masc. RTFM.) : Pour aller d’un endroit à l’autre quand on est dépendant, il faut de l’aide pour faire un transfert, par exemple pour aller au toilette, au lit, de la station assise à coucher et l’inverse. Cette notion est dite de besoin premier ou fondamentale car si on ne peut pas se déplacer, on ne peut pas manger ou éliminer. Si un soignant vous demande 1 min de votre temps pour l’aider à faire un transfert, c’est important. Il y le mode câlin ou la personne aidé met ses bras autours du cou de l’aidant qui lui met ses mains dans le bas du dos, il fléchit les genoux en position de chevalier servant puis se reverticalise entraînant l’aidé avec lui, puis, assise sur le bord du lit, l’un soulève les pieds et l’autre accompagne la rotation en mode princesse (ou sirène) pour une position au lit. C’est le combo calîn-princesse.

    VMC (Fem. RTFM. Abrev.) : Visage-main-cul, soit les parties choisies par l’intervenant pour réaliser une toilette en moins de 12 min, habillage comprit. Cette pratique est privilégiée les samedis, dimanche et jours fériés. Veuillez noter que le dit intervenant ne perçois pas de prime de férié le samedi pour justifier de sa pratique des VMC. En revanche, cette pratique prend tout son sens au coucher lorsque les soins les plus personnalisés ont été fait lors d’un premier tours avant le repas.

  • Potion magique

    Décoction pour la force moral et physique

    Préparer à l’avance le mélange de ces plantes ci en vous aidant d’un concasseur ou d’un moulin électrique:

    • 4 doses de maté
    • 4 doses de lapacho
    • 4 doses de millepertuis (attention contre indication médicamenteuse)
    • 1 dose de cardamome
    • 1 dose d’astragale
    • 1 dose de clous de girofle
    • 1 dose de cannelle
    • 1/4 dose de poivre

    Au dernier moment, ajouter

    • 5 à 10 feuilles de stévia
    • 1 cuillère de gingembre frais
    • 1 cuillère de curcuma frais
  • Tarte à la courgette

    A la demande de Viviane

    Pour faire la pâte à tarte : Farine de petit épeautre, levure boulangère, une pincée de sel, huile de tournesol et un peu d’eau. Il faut que la pâte soit de texture sablée.

    Faire revenir les oignons et les glacer avec du vinaigre de cidre ou du vin rouge.

    Faire revenir les courgettes en tranche dans de l’huile de tournesol avec un peu de sel.

    Préchauffez le four à 200° et saisir le fond de tarte quelques minutes.

    Étalez un peu de moutarde au fond de la tarte puis disposez les oignons, les courgettes et du cumin.

    Étalez de la fêta de chèvre puis des fines herbes ou de l’ail des ours et enfin du râpé de chèvres.

  • Vièrge Marie de la résidence du Parc Sainte-Marie d’Etagnac

    https://www.openstreetmap.org/way/126131774

    La statue surmonte la toure-clocher qui relient les deux corps de bâtiments de la Maison Sainte-Marie, construite dans les années 1880 à l’initiative du comte Arthur Dupont (propriétaire à l’époque du château de Rochebrune).
    Elle mesure plus de 3m de hauteur et pèse environ 800 kg.
    A l’origine, la maison Sainte-Marie était un orphelinat, l’orphelinat de l’Immaculée Conception, confié aux Sœurs de la Charité de Saint-Vincent-de-Paul. Mais faute de pensionnaires, l’orphelinat est fermé en 1900. En 1905, le comte Arthur Dupont décide de faire don de la Maison Sainte-Marie à l’évêque d’Angoulême afin qu’elle serve de maison de retraite pour les prêtres âgés, impotents ou infirmes du diocèse d’Angoulême et des diocèses limitrophes. La maison de retraite ouvre en 1907, sous la direction du curé d’Etagnac et la gestion des Sœurs de la congrégation Notre-Dame-des-Anges de Puypéroux. La maison de retraite fonctionne bien jusqu’à la Seconde Guerre Mondiale. A partir des années 1960, le nombre de prêtres pensionnaires diminue de façon importante et en 1970, il n’y a plus de pensionnaires.
    A partir de 1971, elle devient une maison de repos pour personnes âgées puis, après des agrandissements et des modernisations dans les années 1980 et 1990, elle est devenue une maison de retraite ou EHPAD.
    Aujourd’hui, les bâtiments anciens abritent des logements pour des personnes âgées valides. A l’arrière, un bâtiment neuf a été construit dans les années 2000 pour y installer l’EHPAD proprement dit.

    Source : le Pays d’art et d’histoire du Confolentais – Communauté de communes de Charente Limousine (Hommes et monuments d’Etagnac d’André Berland)

  • Voldemort ne meurt jamais

    -Harryyyyyyy Potterrrrrrrrrrrrrrrr, maugréait Voldemort.

    -Harryyyyyyyyyyy Potterrrrrr criait Voldemort
    -Mais quoi qu’est-ce? dit l’armure animée par le sortilège de Piertotum Locomotor.
    -Stupéfiant, répondit une statue de femme à demi-nue.
    -Je savais qu’il ne resterait pas là éternellement, enfermé dans ces flammes pourtant si belles.
    Il faut prévenir le directeur de l’école répliqua l’armure.

    L’armure frappa le sol trois fois avec son arme. Une vibration fila par-dessus le lac pour finir sa course dans le bureau du directeur Ernest Hightower. Ce dernier ne comprit pas la nature du phénomène magique et se demandait ce qu’il s’était passé pendant le reste de l’année scolaire. Il était interpelé par le fait que cette vibration venant de nulle part, se tua exactement à ses pieds en libérant une tête de mort mêlé à un serpent, tout de même !

    -Harryyyyyyyyyyyyyyyyy PotterRRRRR, s’époumona Voldemort.
    Et le feu-bocal explosa en mille morceaux libérant le fantôme de Voldemort.
    -Non mais vraiment ! S’exclama de sa nudité la statue.
    -Pas la peine de crier, dit l’amure qui était déjà là à l’époque de la bataille de Poudlard.
    Mais Voldemort n’écoutait pas, il était occupé à se taper la tête contre les murs du mausolée, se déplaçant comme un Vivet d’or en feu. Le mausolée étant protégé par des sorts d’une extrême complexités et spécialement conçues pour l’occasion.
    -Tu es condamné, tout comme nous, à passer l’éternité enfermé dans ce lieu, dit une autre amure qui parlait surtout pour elle.


    Ce mausolée n’existait pas du temps ou Voldemort était élève à l’école de sorcellerie Poudlard. Il fut construit pour accueillir le feu magique où il était jusqu’alors maintenu, sur une toute petit île, au milieu du lac du Calmar géant. Exactement au-dessus de la salle commune des Serpentards et cela depuis des centaines d’années.

    Voldemort est à présent libre du feu magique mais toujours enfermé dans le mausolée. Ce ne fut que 10 ans après, à l’occasion du tournois des 3 sorciers, qu’une jeune femme de 17 ans entrât dans le mausolée et tomba nez à nez avec le fantôme de Voldemort. Elle fut effrayée, non pas qu’elle eu peur des fantômes mais, de ce fantôme si, tellement il était morcelé. Ce fantôme n’avait qu’une moitié de visage, une moitié de buste, une seul bras et pas de jambe.Voldemort se mit en tête d’explorer les pensées et souvenirs de Margo Powell mais en vain. Il n’est pas dans les attributions des fantômes de faire de la légilimencie.
    -Qui est tu, tenta Voldemort
    -Je suis la championne de Poudlard, es-tu là pour me donner un indice ?
    -Je suis là pour retrouver Harry Potter,
    -Harry Potter? Mais il est mort depuis des siècles ! C’est bien lui qui a tué Grindelwald ?
    -Grindelwald ?!
    -Grindelwald ou un autre. Heu, vous allez bien ?
    -Si je vais bien ? Je suis Lord Voldemort, je suis le sorcier qui ai vaincu la mort, qui suis allé le plus loin… dit-il sans terminer sa phrase.-C’est le confinement, çà ne lui va pas très bien dit l’amure qui n’avait pas encore bougé.
    Surprise par cette prise de parole venant de nul part, Margo Powell se retourna brusquement en tendant sa baguette vers l’armure immobile postée là à côté d’une statue à la poitrine nue.
    -Qu-est-ce que c’est encore ! Dit-elle en sueurs.
    -Nous sommes les défenseurs de ce mausolée, dit la statue. Nous avons été missionné par Minerva McGonagall après qu’Ermione Granger-Weasley soit venue déposer le feu-bocal sur ce piédestal, enfin, ce qu’il en reste.
    -McGonagall, le feu-bocal ? De quoi parlez-vous ? Ermione Granger-Weasley par contre je connais ! C’est la ministre qui a son portrait partout. Celle dont le professeur Binns nous parle à chaque cours année après année…
    -Ou est Harry Potter ? Insista Voldemort, à présent impatient.
    -Mais il est mort, de vieillesse à ce que je sais, répondit la jeune femme, perplexe.
    -La mort est le privilège des faibles, décréta Voldemort.
    -Il est vrai que le professeur Binns est ennuyeux à mourir, mais quand il parle de Granger, il l’est un peu moins. Je crois qu’il l’a eu comme élève. C’est elle qui a mit fin à l’esclavage des elfes de maisons. Maintenant, les elfes sont les créatures les plus magiques qu’ils soient.
    -Les elfes de maison ! JE SUIS la créature la plus magique de tous les temps !
    -Vous êtes un sacré personnage, vous ! Haut en couleur… Pardon, je veux dire… Vous n’avez pas de couleur, même pour un fantôme.
    -Pour un fantôme, il a surtout de la voie, dit la statue, Une voie à vous briser les flammes et nous mettre un foutu vent. Pour ce qui en reste de ce lord ! Un septième de fantôme et 700 ans d’enfermement à nous regarder penser !
    -Septiè… commença Voldemort qui passait d’un état translucide à un état d’orage noir comme la nuit.

    Margo Powell, effrayé par la situation, lança sur elle un sortilège de tête en bulle.
    -J’ai compris, annonça-t-elle. C’est vous qu’Harry Potter a tué, et non pas Grindelwald. Je me suis emmêlé les baguettes.
    Voldemort s’emporta alors et se mit à crier encore plus fort tout en se transformant en un nuage électrique.
    Margo mit sur elle sa cape d’invisibilité et s’en alla de la même manière qu’elle fut venue, laissant le fantôme de Voldemort à ses humeurs.


    Voldemort ne meurt jamais, Lionel P. OUTEIRO STEIMETZ, 🄯 2021, Licence Art Libre

  • Sauce vinaigrette

    • Miel, moutarde et vinaigre balsamique
    • Ail, échalote, gingembre, curcuma et Cumin
    • Éclats de noix, fines herbes
    • Huiles variés

  • Magenta

    Station Magenta du RER parisien. Quand j’entre dans la station, il fait beau temps mais je n’y fais pas attention car je sors du travail et rentre chez moi. Dans le train, je cherche une place un certain temps, nous somme nombreux. Je trouve côté fenêtre, ce que je préfère. Il faut un petit temps pour que chacun se pose et aille se réfugier dans ses pensés. Soudain, un bruit surprenant de pluie forte au moment ou le train sort du tunnel pour se retrouver en pleine terre. Évidement, j’ai envie de fermer la fenêtre pour me protéger de la pluie. Cette fenêtre est très dur à fermer. Il faudrait être deux pour y arriver mais il pleut très fort et j’en prend plein la figure, j’ai la motivation pour exercer la force nécessaire. S’en suit un énorme boom, que personne ne comprend. Tout le monde regarde tout le monde en pesant au pire. Je peux lire la peur et la stupéfaction sur le visage de tout le monde. Il y a alors une personne pour comprendre la situation et l’origine du boom. Cette personne se met à rire de soulagement, ce qui rassure une deuxième personne qui comprend et se met aussi à rire, puis une troisième personne et enfin se retrouver avec un wagon entier partagé entre l’envie de rire et celle d’observer ses pairs. Chacun découvre avec étonnement son voisin et prend conscience du monde qui l’entour, de ce que nous venons de partager.

  • Le bonheurs est dans le petit beurre

    Il a un petit beurre par jour
    De un, pas deux, tout les jours
    Ce jour, pas de petit beurre
    Car hier, il a mangé tout les petits beurres

    Il a une grande frustration ce jour
    Il pleure ses petits beurres
    mais demain, à nouveau un petit beurre
    C’est la félicité, demain un petit beurre

    Le bonheurs est dans le petit beurre
    Surtout quand on a qu’un petit beurre par jours

  • Souris

    Je passe par là, je suis presque chez moi. Et là, une souris! J’observe.

    Elle cherche à rentrer dans un immeuble. Le hall a des portes vitrées.

    Il y a un homme qui regarde son courrier et tout d’un coup, Il me regarde.

    Je lui pointe la souris mais il ne comprend pas. Il me dit avec ses mains : tu ne rentre pas.

    Je regarde la souris, elle à trouvé un petit trou, passe et fille dans les pattes de l’homme.

    Il souriS, je la pointe mais c’est bon, il a comprit. Je rentre pas, elle si.